martedì 20 gennaio 2015

(Mc 3,1-6) È lecito in giorno di sabato salvare una vita o ucciderla?

VANGELO 
(Mc 3,1-6) È lecito in giorno di sabato salvare una vita o ucciderla? 
+ Dal Vangelo secondo Marco
In quel tempo, Gesù entrò di nuovo nella sinagoga. Vi era lì un uomo che aveva una mano paralizzata, e stavano a vedere se lo guariva in giorno di sabato, per accusarlo. Egli disse all’ uomo che aveva la mano paralizzata: «Àlzati, vieni qui in mezzo!». Poi domandò loro: «È lecito in giorno di sabato fare del bene o fare del male, salvare una vita o ucciderla?». Ma essi tacevano. E guardandoli tutt’ intorno con indignazione, rattristato per la durezza dei loro cuori, disse all’ uomo: «Tendi la mano!». Egli la tese e la sua mano fu guarita. E i farisei uscirono subito con gli erodiani e tennero consiglio contro di lui per farlo morire.
Parola del Signore



LA MIA RIFLESSIONE
PREGHIERA
Vieni o Spirito Santo Paraclito, uno col Padre e il Figlio, discendi nell' intimo del mio cuore. Luce di sapienza, rivelami le Tue parole, fonte d' eterno Amore, io ti ringrazio. Amen.
Gesù continua ad entrare nelle sinagoghe, sempre un po’ provocatorio, persegue il suo scopo, parlare a chi vuole comprendere.
Eppure proprio lì, dove si legge la parola di Dio, gli riesce più difficile farsi conoscere veramente, perché chi detiene la sapienza di saper leggere le scritture, spesso la usa per avere il potere sul popolo. Cercando di metterlo in difficoltà, con domande a trabocchetto, volevano dimostrare che la sua parola andava contro la le legge di Dio; per loro era più importante rispettare le leggi che loro stessi avevano promulgato, che riconoscere in Gesù il Messia che attendevano.
Certo non era facile cedere il passo all‘ amore di Dio per l' uomo, anzi volevano mantenere il controllo sul popolo, tenerlo lontano da Dio, come se fosse il Dio di pochi eletti e non di tutta l' umanità. Purtroppo questa presunzione è ancora oggi, causa di grandi malintesi, tanto che invece di avvicinarsi al Signore, molti se ne allontanano. A volte basta un niente, una chiacchiera provocata dall' invidia o dalla superbia; subito si crea una frattura che se non chiarita diventa incolmabile.
Ci vuole serenità d' animo per chiarire i malintesi, da ambo le parti, ci vuole apertura agli altri e non chiusura su se stessi, apertura all’ amore per tutti gli uomini, perché Gesù è venuto per reintegrare tutti, nella sua Chiesa.
Scribi e farisei non erano disponibili a parlare con Gesù di quello che Dio voleva, perché vedevano in lui un usurpatore, uno che voleva prendere il loro posto, il più vicino a Dio e facendo così, hanno inaridito il loro cuore e non hanno permesso al Signore di guarirli; non hanno accettato di rivedere le loro posizioni, di stendere quella mano inaridita, senza linfa vitale, senza Dio.
Non hanno accettato che i poveri e i peccatori, contassero per Gesù più di loro, che Lui gli si rivolgesse sempre con tanta tenerezza.
Era una sfida continua tra loro e Gesù, neanche l’ evidenza dei miracoli che compiva, gli apriva il cuore, erano così duri ed ostili, ed evidentemente la loro preghiera nel tempio era assolutamente ipocrita e vuota, perché altrimenti lo Spirito gli avrebbe fatto comprendere chi era Gesù. Come ci mettiamo noi davanti a Gesù? Il nostro è un atteggiamento di apertura a farlo entrare nella nostra vita cerchiamo tutte le scuse per tenerlo fuori? Questa settimana per l' unità dei cristiani, deve essere per noi un momento importante di riflessione anche su quanto sia assurdo che pur definendoci tutti cristiani, siamo divisi in circa 600 confessioni. Tra noi stessi siamo divisi, ma se veramente siamo uniti in Cristo e facciamo prevalere l' amore per i fratelli, potremo far crollare le divisioni, incontrandoci su ciò che ci unisce e pregando per le cose in cui siamo divisi. Se non ci decidiamo a tendere la mano verso i fratelli con amore, non stiamo seguendo Gesù,ma i farisei del tempio.

2 commenti:

  1. VERSIONE IN FRANCESE DI MERCOLEDì 21 GENNAIO
    Jour liturgique : Temps ordinaire - 2e Semaine: Mercredi

    Martyrologe 21 Janvier: Saint Fructueux, Evêque de Tarragone et martyr, et saint Augure et saint Euloge, diacres et martyres
    Texte de l'Évangile (Mc 3,1-6): Une autre fois, Jésus entra dans une synagogue; il y avait là un homme dont la main était paralysée. On observait Jésus pour voir s'il le guérirait le jour du sabbat; on pourrait ainsi l'accuser. Il dit à l'homme qui avait la main paralysée: «Viens te mettre là devant tout le monde». Et s'adressant aux autres: «Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien, ou de faire le mal? de sauver une vie, ou de tuer?». Mais ils se taisaient. Alors, promenant sur eux un regard de colère, navré de l'endurcissement de leurs coeurs, il dit à l'homme: «Étends la main». Il l'étendit, et sa main redevint normale. Une fois sortis, les pharisiens se réunirent avec les partisans d'Hérode contre Jésus, pour voir comment le faire périr.

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  2. REFLEXION DE LELLA
    - PRIERE : "Viens ô Esprit Saint Paraclite, un avec le Père et le Fils, tu descends dans l'intimité de mon coeur. Lumière de savoir révèle-moi tes Paroles, source d'éternel Amour, je te remercie. Amen."

    - Jésus continue à entrer dans les synagogues, un peu provocant il poursuit toujours son but, parler à ceux qui veulent comprendre. Pourtant là vraiment, où on lit la Parole de Dieu, il réussit ou c'est plus difficile pour lui de se faire connaître, parce que qui détient le pouvoir de savoir lire les écritures, l'utilise souvent pour avoir le pouvoir sur le peuple. En cherchant à le mettre en difficulté, avec des questions piègé, ils voulaient montrer que sa Parole allait contre la loi de Dieu; pour eux il était plus important de respecter leur lois qu'eux mêmes avaient promulgué, que de reconnaître en Jésus le Messie qu'ils attendaient. Cela n'était pas facile de céder le pas à l'amour de Dieu pour l'homme, certainement, qu'ils voulaient maintenir le contrôle sur le peuple, pour mieux le tenir loin de Dieu, comme si ce fût le Dieu de peu d'élus et non de toute l'humanité. Cette présomption est malheureusement aujourd'hui encore, cause de grands malentendus, il y en a beaucoup qui au lieu de se rapprocher du Seigneur, s'en s'éloignent. Parfois un rien suffit, un bavardage provoqué par l'envie ou par l'orgueil; tout de suite on crée une fracture qui, si elle n'est pas clarifiée elle devient Abyssale. Il nous veut une sérénité d'âme pour clarifier les malentendus, les deux parties veulent une ouverture aux autres et pas une fermeture sur soi mêmes, une ouverture à l'amour pour tous les hommes, parce que Jésus est venu pour nous réintégrer tous dans son Église.
    Scribes et pharisiens n'étaient pas disponibles à parler avec Jésus de ce qu'il voulait, parce qu'ils voyaient en lui un usurpateur, quelqu'un qui voulait prendre leur place, plus près de Dieu et en faisant ainsi, ils ont desséché leur coeur et n'ont pas permis au Seigneur de les guérir; ils n'ont pas accepté de revoir leurs positions, d'étendre cette main desséchée, sans sève vitale, sans Dieu. Ils n'ont pas accepté que les pauvres et les pécheurs comptent pour Jésus plus qu'eux, à qui il s'adressât toujours avec beaucoup de tendresse.
    C'était un défi continu entre eux et Jésus, l'évidence des miracles qu'il accomplissait ne leur ouvrait pas plus le coeur, ils étaient si durs et hostiles, et leur prière dans le temple était évidemment absolument hypocrite et vide, parce que autrement l'Esprit leur aurait fait comprendre qui était Jésus. Comme nous nous mettons devant Jésus nous? Est-ce que la nôtre est une attitude d'ouverture pour le faire entrer dans notre vie nous cherchons toutes les excuses pour le tenir dehors? Cette semaine pour l'unité des chrétiens, cela doit être pour nous aussi un moment important de réflexion sur tout ce qui est absurde aussi en nous définissant tous chrétiens, nous sommes divisés en environ 600 confessions. Mêmes entre nous nous sommes divisés, mais si vraiment nous sommes unis en Christ et que nous faisons prévaloir l'amour pour nos frères, nous pourrions faire s'écrouler les divisions, en nous rencontrant sur ce qui nous unit et en priant pour les choses dans lesquelles nous sommes divisés. Si nous ne nous décidons pas à tendre la main vers nos frères avec amour, nous ne sommes pas en train de suivre Jésus mais plutôt les pharisiens du temple.

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